Vous le savez, à partir du 1er janvier, toutes les transactions B2B devront faire l’objet d’une facturation électronique. C’est une révolution pour notre économie
À ce jour, 418.000 entreprises sont inscrites au registre « PEPPOL » (sur 1.200.000 entreprises environ). Si on progresse vite, on doit néanmoins s’attendre à certaines difficultés au 1er janvier 2026.
C’est pourquoi l’UCM et ses fédérations affiliées ont décidé de lancer un triple message dans la presse et au monde politique
Ensemble, avec l’UCM, nous demandons :
- un moratoire sur l’application des sanctions en 2026, au moins jusqu’en juin.
- une approche pédagogique et constructive dans la mise en œuvre des contrôles fiscaux (appliquez une logique “administration-partenaire”, en prévoyant notamment un premier avertissement sans frais) ;
- de maintenir, voire intensifier encore, les efforts de communication et du support;
Le message a été transmis en début de semaine aux ministres Simonet, Clarinval et Jambon, avant d’être publié dans les média.
Vous trouverez ici le lien vers le communiqué de presse auquel le GTL s’est associé

Articles parus dans la presse:
21News : Facturation électronique : l’UCM réclame un sursis de six mois avant les sanctions
Trends - Tendance : Facturation électronique 2026 : pourquoi l’UCM plaide pour un moratoire

